C’est l’histoire d’un chat, Iris, une belle Siamoise hyperactive ! Une véritable muse pour sa maîtresse.

Le chat Siamois : la rencontre avec Charlotte !

 

Iris est arrivée dans un moment compliqué de ma vie. Je me sentais si fragile lors de son adoption. On a appris à se connaître, même si son tempérament de chat Siamois, m’a totalement bousculé dans mon quotidien. Je ne m’y attendais pas, en vérité je ne connaissais pas du tout cette race. Woo ! Un chaton hyperactif. Cela m’a aidé à focaliser mon attention sur elle, et rien d’autre. Elle m’a appris à respirer le moment présent. Et à prendre soin de moi, afin de lui apporter le meilleur. 

 

Iris, la belle Siamoise a son compte instagram

 

Avec le temps, ma créativité à repris le dessus. La découverte d’Instagram, m’a poussé à me plonger à nouveau dans la photographie. Une passion qui vibre en moi depuis ma tendre enfance. Mon modèle ? Iris. En Août 2017, les Instapets français, ne sont pas très nombreux, mais qu’importe, j’aime partager. Qu’importe la langue. Je veux montrer au monde entier, mon quotidien avec Iris, et surtout notre amour. Avec le temps, on se perfectionne dans nos créations. Même si Iris n’est pas un mannequin facile. J’ai su m’adapter à ses envies et ses limites. Avant tout, il faut que ça reste un moment fun entre elle et moi. 

 

Bien plus qu’un chat pour sa maîtresse…

 

Iris m’a redonné confiance en moi. Elle ne me juge pas, et toujours partante dans mes délires. Que ce soit pour Instagram, ou personnellement. Elle m’apporte ce que je ne trouve nulle part, un amour sans mot. Un réconfort, de la tendresse et de l’inspiration. Notamment dans mes écritures, et dans mes compositions musicales. Une complicité unique. Je l’aime tellement. Le destin a fait que j’ai adopté un chat siamois, une race dont les gens ont souvent des préjugés. C’est juste que les siamois sont très exclusifs. Et elle n’a pas peur de lever la patte sur un inconnu. J’aime cette force qu’elle dégage. Et c’est une force qu’elle m’a éduqué. Il n’y a aucun hasard. Aujourd’hui encore, je le dis « elle est l’énergie que je ne suis pas ».