Lady Green, la British Shorthair !

Lady Green British Shorthair

Voici une belle histoire… l’histoire de Lady Green, la British Shorthair de la rédactrice en chef du magazine Matou Chat.

Lady Green, la British Shorthair !

 

Lady Green de Dicxiiland, British Shorthair, a eu beaucoup de jolis bébés dans sa vie. Aujourd’hui, c’est elle que l’on dorlote. Lorsque Luhna a rendu son dernier souffle, en octobre dernier, j’ai dû songer à avoir un autre chat. Nadine Chauvin, chargée de la publicité pour le magazine Matou Chat, a fait le tour des éleveurs… Lady Green, 5 ans, allait devoir se reposer dans une bonne maison. Lorsque j’ai reçu la photo, j’aimais déjà son regard. Mais je pensais trop à Luhna, c’était trop tôt.

Au bout d’un certain temps, comme je ne pouvais pas vivre sans chat, cela finissait par me rendre un peu nerveuse. Mon mari, Nicolas, m’a vite proposé, mine de rien: « tu ne veux pas qu’on aille chercher un chat ? » Il avait mille fois raison, en un quart de seconde, je retrouvais le sourire. Sans trop d’espoir, je demandais à l’éleveur si Lady Green était encore disponible, il m’a écrit « elle vous attend ». Touchant ! Ni une ni deux, nous sommes allés chercher la belle Lady Green. Lorsqu’elle était dans les bras de Serge, l’éleveur, elle ne faisait que de me regarder.

Arrivée de Lady Green British Shorthair chez la rédactrice en chef de Matou Chat

 

A la maison, elle s’est cachée pendant 48 heures, introuvable. Elle était sous une armoire. Puis, elle s’est réfugiée dans des siestes interminables, a joué à « au secours, j’ai peur » dès qu’elle nous croisait dans le couloir, passait des heures et des heures sous le lit… Je savais qu’il fallait de la patience. Mais j’avais bien envie de la voir apparaitre lorsque nous revenions d’ailleurs…

Aujourd’hui elle joue « à la première arrivée pour aller dormir avec nous, saute comme un cabri dans l’appartement, fait son petit tour sur la terrasse, j’adore ses jolis yeux de cuivre. Je la trouve très intelligente. Elle ne miaule pas, elle émet un petit cri d’oiseau. Elle est sage. Lady Green passe des heures à méditer dans sa « maison rouge », une trouvaille de ma part (une caisse de rangement pliable, en tissu, rien d’autre), où elle se sent à l’abri des regards et médite face aux arbres et aux géraniums. Elle se sent bien avec nous, un vrai bonheur ! Pour l’instant, elle n’est pas très littéraire, cela ne lui dit rien de travailler avec moi dans mon bureau. Elle est libre d’être elle-même. Les invités savent qu’elle existe mais elle ne veut pas encore montrer le bout de son nez. Patience !

Pour les lecteurs de Matou Chat, j’ai choisi cette photo qui illustre l’édito du Hors-Série Jeux Matou Chat. Est-ce qu’elle n’est pas mignonne à croquer, ma petite Lady Green ?


La belle histoire de Brigitte Bulard-Cordeau, rédactrice en chef du magazine Matou Chat.